Droit d'un évêque de protéger un fugitif de la justice ou d'intercéder en sa faveur. Une fois que l'asile avait été accordé, le fugitif ne pouvait être appréhendé qu'après un délai d'un mois. Les fugitifs qui trouvaient asile devaient prêter le serment de ne jamais revenir dans le royaume, après quoi ils étaient libres de franchir les frontières du royaume le plus rapidement possible. Si après un mois, on les retrouvait à l'intérieur des frontières, ils pouvaient alors être poursuivis comme auparavant, sans plus jamais bénéficier du droit d'asile.