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The Economist Newspaper Ltd
Industry: Economy; Printing & publishing
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Loved and loathed; perhaps the most influential economist of his generation. He won the Nobel Prize for economics in 1976, one of many Chicago school economists to receive that honor. He has been recognized for his achievements in the study of consumption, monetary history and theory, and for demonstrating how complex policies aimed at economic stabilization can be. A fierce advocate of free markets, Mr. Friedman argued for monetarism at a time when Keynesian policies were dominant. Unusually, his work is readily accessible to the layman. He argues that the problems of inflation and short-run unemployment would be solved if the Federal Reserve had to increase the money supply at a constant rate. Like Adam Smith and Friedrich Hayek, who inspired him, Mr. Friedman praises the free market not just for its economic efficiency but also for its moral strength. For him, freedom--economic, political and civil--is an end in itself, not a means to an end. It is what makes life worthwhile. He has said he would prefer to live in a free country, even if it did not provide a higher standard of living, than a country run by an alternative regime. However, the likelihood of a free country being poorer than an unfree one strikes him as implausible; the economic as well as the moral superiority of free markets is, he has declared, "now proven". An adviser to Richard Nixon, he was disappointed when the president went against the spirit of monetarism in 1971 by asking him to urge the chairman of the Fed to increase the money supply more rapidly. The 1980s economic policies of Margaret Thatcher and General Pinochet were inspired--and defended--by Mr. Friedman. However, in 2003, he admitted that one of those policies, the targeting of the money supply, had "not been a success" and that he doubted he would "as of today push it as hard as I once did".
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The study of the individual pieces that together make an economy. Contrast with macroeconomics, the study of economy-wide phenomena such as growth, inflation and unemployment. Microeconomics considers issues such as how households reach decisions about consumption and saving, how firms set a price for their output, whether privatization improves efficiency, whether a particular market has enough competition in it and how the market for labor works.
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Vue d'ensemble : analyser l'ensemble de l'économie des phénomènes tels que la croissance, l'inflation et le chômage. Contrastent avec la microéconomie, l'étude du comportement des marchés individuels, les travailleurs, les ménages et les entreprises. Bien que les économistes en général de se séparent en macro distinct et camps de micro, phénomènes macroéconomiques sont le produit de toutes les activités micro-économiques dans une économie. La relation exacte entre macro et micro n'est pas particulièrement bien entendue, qui a souvent rendu difficile pour un gouvernement d'établir une politique macroéconomique bien gérée.
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Top-down policy by government and central banks, usually intended to maximize growth while keeping down inflation and unemployment. The main instruments of macroeconomic policy are changes in the rate of interest and money supply, known as monetary policy, and changes in taxation and public spending, known as fiscal policy. The fact that unemployment and inflation often rise sharply, and that growth often slows or GDP falls, may be evidence of poorly executed macro¬economic policy. However, business cycles may simply be an unavoidable fact of economic life that macroeconomic policy, however well conducted, can never be sure of conquering.
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Avec quelle facilité un actif peut être dépensé, si vous le souhaitez. Cash est entièrement liquide. La liquidité des autres actifs est généralement moins ; Combien moins peut être mesurée par la facilité avec laquelle ils peuvent être échangés contre de l'argent (qui est, mise en liquidation). Les marchés financiers publics cherche à maximiser la liquidité des actifs comme les actions et obligations en fournissant un lieu de rencontre central (la bourse) où vendeurs et acheteurs potentiels peuvent trouver facilement mutuellement. Les teneurs de marché financiers (intermédiaires tels que les banques d'investissement) peut également accroître la liquidité en utilisant certains de leur capital pour acheter des titres de ceux qui veulent vendre, quand il n'y a aucun autre acheteur offre un prix décent. Ils le font dans l'espoir que s'ils détiennent le bien pendant un certain temps, ils seront en mesure de trouver quelqu'un de l'acheter. En règle générale, plus le volume des métiers qui se passe dans un marché, plus grand est sa liquidité. En outre, des marchés très liquides attirent les plus commerçants de recherche de la liquidité, augmentant encore la liquidité. De façon similaire, il peut y avoir vicieux dans lequel liquidité s'assèche. Le montant des liquidités sur les marchés financiers peut varient énormément d'un moment à l'autre et peut parfois s'évaporer entièrement, surtout si les teneurs de marché deviennent trop risque aversion pour mettre leur capital à risque de cette façon.
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Gouvernement corrompu, voleurs, dans laquelle les politiciens et les bureaucrates en charge utilisent les pouvoirs de l'État pour leur propre nid de plumes. La Russie dans les années immédiatement après la chute du communisme a été un exemple clair, avec des membres de gouvernement de Mafia de l'environnement eux-mêmes allouant des actions utiles au cours de la privatisation des sociétés d'État, accepté des pots-de-vin d'entreprises étrangères, pas de collecte des impôts des entreprises « utiles » et siphonnant l'aide internationale dans leurs personnels des comptes bancaires offshore.
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Bien suivi et économiste bien incompris, allemand (1818–83). Ses deux œuvres les plus connues sont le manifeste du parti communiste, écrit en 1848 avec Friedrich Engels et Das Kapital, en quatre volumes publiés entre 1867 et 1910. La plupart de ses hypothèses économiques provenaient de l'économie classique orthodoxe, mais il a utilisées pour parvenir à des conclusions tout à fait inhabituelle. Bien que réclamé et blâmé comme source d'inspiration de certains gouvernements plus violemment anti-marché que le monde ait jamais connu, il n'était pas tout à fait contre le capitalisme. En effet, il l'a loué pour sauver des millions de personnes de « l'idiotie de la vie rurale ». Malgré tout, il pensait que c'était condamnée. Une pénurie de la demande se concentreraient puissance économique et la richesse dans les mains jamais moins, produisant un prolétariat plus misérable et plus. Cela passerait finalement vers le haut, créant une « dictature du prolétariat » et conduisant éventuellement à une « dépérissement » de l'État. Marx pensait que cette version de l'histoire était inévitable. Jusqu'ici, l'histoire a démentie lui, en grande partie parce que le capitalisme a livré une bien meilleure affaire aux masses qu'il croyait que ce serait.
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Un marché du travail flexible est celui dans lequel il est facile et peu coûteux pour les entreprises faire varier la quantité de travail qu'ils utilisent, y compris en changeant les heures de travail effectuées par chaque salarié et en changeant le nombre d'employés. Cela signifie souvent une réglementation minimale de conditions de travail (aucun minimum ne wage, dire) et faibles (ou non) des syndicats. Cette souplesse se caractérise par ses opposants comme donnant des entreprises toute la puissance, ce qui leur permet de tirer des employés à un moment et laissant les travailleurs, sentiment d'insécurité. Adversaires du travail marché demande de flexibilité que les lois du travail qui rendent les travailleurs se sentent plus sûrs inciter les salariés à investir dans l'acquisition de compétences qui leur permettent de mieux faire leur travail actuel, mais qui ne pourrait pas être pris avec eux à une autre entreprise si ils ont étaient remerciées. Partisans prétendent qu'il améliore l'efficacité économique en laissant aux forces de décider des conditions d'emploi du marché. Grosso modo, la preuve est qu'une plus grande flexibilité est associée à des taux inférieurs de chômage et le PIB par habitant plus élevé.
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Putting money to work, in the hope of making even more money. Investment takes two main forms: direct spending on buildings, machinery and so forth, and indirect spending on financial securities, such as bonds and shares. Traditionally, economic theory says that a country’s total investment must equal its total savings. But this has never been true in the short run and, as a result of globalization, may never be even in the long run, as countries with low savings can attract investment from overseas and foreign savers lacking opportunities at home can invest abroad (see foreign direct investment). The more of its GDP a country invests, the faster its economy should grow. This is why governments try so hard to increase total investment, for instance, using tax breaks and subsidies, or direct public spending on infrastructure. However, recent evidence suggests that the best way to encourage private-sector investment is to pursue stable macroeconomic policies, with low inflation, low interest rates and low rates of taxation. Curiously, economic studies have not found evidence that higher levels of investment lead to higher rates of GDP growth. One explanation for this is that the circumstances and manner in which money is invested count at least as much as the total sums invested. It ain’t how much you do, it’s the way that you do it.
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Referee and, when the need arises, rescuer of the world’s financial system. The IMF was set up in 1944 at Bretton Woods, along with the World Bank, to supervise the newly established fixed exchange rate system. After this fell apart in 1971–73, the IMF became more involved with its member countries’ economic policies, doling out advice on fiscal policy and monetary policy as well as microeconomic changes such as privatization, of which it became a forceful advocate. In the 1980s, it played a leading part in sorting out the problems of developing countries’ mounting debt. More recently, it has several times co-ordinated and helped to finance assistance to countries with a currency crisis. The Fund has been criticized for the conditionality of its support, which is usually given only if the recipient country promises to implement IMF-approved economic reforms. Unfortunately, the IMF has often approved “one size fits all” policies that, not much later, turned out to be inappropriate. It has also been accused of creating moral hazard, in effect encouraging governments (and firms, banks and other investors) to behave recklessly by giving them reason to expect that if things go badly the IMF will organize a bail-out. Indeed, some financiers have described an investment in a financially shaky country as a “moral-hazard play” because they were so confident that the IMF would ensure the safety of their money, one way or another. Following the economic crisis in Asia during the late 1990s, and again after the crisis in Argentina early in this decade, some policymakers argued (to no avail) for the IMF to be abolished, as the absence of its safety net would encourage more prudent behavior all round. More sympathetic folk argued that the IMF should evolve into a global lender of last resort.
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